Mercredi 10 janvier 1973

Le mercredi, "Voyage au fond des mers" proposait l'épisode "Zône interdite" mais refroidi par le premier opus, je zappais.

A 19H30, seizième épisode de "Poigne fer et séduction" : "Le diamant". Aucun souvenir.

A 20h30, "Les Rois maudits" en arrivent à leur quatrième épisode, "La loi des mâles", mais même s'il est toujours question de Marguerite de Bourgogne, Muriel n'apparaît pas en flash back.

Néanmoins, même sans Muriel, la série reste la plus attachante que j'ai pu voir, la mieux construite, la lutte pour le pouvoir est un thème intemporel, que ce soit en 1316 qu'en 2012.

Ici, une partie de l'histoire a trait à la papauté, il se trouve que pour des raisons professionnelles, j'ai assisté à une réunion au Palais des papes dans les années 2000.  C'est un endroit qui n'est pas ouvert au public et même si ce n'était pas dans un contexte festif, je n'oublierai pas cet endroit.

Le catalan José Maria Flotats a la part belle dans "La loi des mâles". Le comédien ne refera parler de lui en France qu'en 1980 avec la série de science-fiction "Les visiteurs" où l'on côtoie un autre acteur familier de Claude Barma, François Chaumette, le fameux Boris Williams de "Belphégor".

En Espagne et surtout au théâtre, Flotats sera une star.

Henri Virlojeux, l'autre vedette de l'épisode, est bien mieux inspiré ici que dans "L'Alphoméga", une série stupide qui nous sera infligée pendant six lundis après "Joseph Balsamo".

Virlojeux a gâché son talent dans des productions indignes de lui, telle "Arsène Lupin" (série qui a très mal vieilli) où il est Herlock Sholmès, un Sherlock Holmes d'opérette.

Ce mercredi, j'ai en mains le prochain Télé Poche avec Jean Marais en couverture, et des prévisions programmes qui vont jusqu'au vendredi 26 janvier. Toujours pas de Muriel à l'horizon : pourtant, elle va revenir!